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Nos travaux sur la legaltech

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Le groupe legaltech de France Digitale a été créé en juillet 2019 avec l’ambition de faire émerger des champions français dans ce secteur à très fort potentiel.

Le groupe legaltech de France Digitale

Rattaché à France Digitale, le groupe legaltech a été créé en juillet 2019 avec l’ambition de faire émerger des champions français dans ce secteur à très fort potentiel.

Filière en pleine croissance, le chiffre d’affaires des start-up du droit a triplé entre 2018 et 2020, d’après une étude menée par France Digitale auprès de ses membres.

Pour Frédéric Mazzella, co-président de France Digitale : “L’émergence de champions français de la Legal Tech, capables de se développer et de s’exporter rapidement, représente un potentiel immense en matière de croissance et de création d’emplois.”

Favoriser les rencontres entre acteurs de la LegalTech, dialoguer avec les instances représentatives des professionnels du droit et mettre l’innovation au service de l’accès au droit, tels sont les autres objectifs de la feuille de route du groupe legaltech de France Digitale.

Le groupe rassemble aujourd’hui une quarantaine de start-up dans une dizaine de domaines d’activités différentes.

Il se réunit tous les trimestres, à distance ou en présentiel.

 

Les performances des membres du groupe

Après une première étude parue en 2021, le groupe a publié en juillet 2023 une 2e édition de son étude sur les performances de ses membres. Cette étude confirme la bonne santé du secteur avec un chiffre d’affaires qui a triplé entre 2019 et 2022. Une tendance confirmée par les  70% de croissance réalisés entre 2021 et 2022. D’ici fin 2023, les legaltech de ce groupe vont recruter 300 nouveaux postes et représenteront 1,000 emplois.

Pour en savoir plus, l’étude est par ici ou dans ce récap vidéo réalisé avec Marianne Tordeux Bitker lors du BIG 2023.

Un code de conduite sur l’IA Générative

Les legaltech de France Digitale dont Lexbase, Gino, Doctrine, Ekie, Legalstart et Deeplblock s’engagent dans un code de conduite à respecter certains principes dans leurs innovations et développements intégrant l’intelligence artificielle générative. Pour retrouver les principes et signataires, c’est ici.

 

Étude « Legaltech & IA Générative : imaginer la fonction juridique du futur »

À l’occasion du Sommet mondial de l’action sur l’IA qui s’est tenu à Paris les 10 et 11 février 2025, le cabinet de conseil et d’audit PwC France et Maghreb en partenariat avec le Cercle Montesquieu et France Digitale publient les résultats d’une étude, explorant le rôle croissant de l’IA générative et des Legaltech dans la transformation de la fonction juridique des entreprises.

L’IA générative ne relève plus de la prospective : les legaltech ont compris l’intérêt qu’elle pouvait apporter aux juristes, en facilitant déjà la rédaction, l’analyse, l’automatisation et la sécurisation des processus contractuels.

Les legaltech doivent poursuivre l’intégration de l’IA dans leurs solutions afin de répondre aux attentes des juristes, contribuant ainsi à enrichir davantage leur pratique professionnelle.

Cette étude constitue une ressource essentielle pour les directions juridiques souhaitant mieux comprendre les premiers cas d’usage de l’IA générative et préparer leur transformation. Elle s’adresse plus largement aux professionnels du droit mais aussi aux décideurs souhaitant réfléchir à la manière dont l’IA  impacte le modèle stratégique et organisationnel des directions juridiques.

L’étude complète et ses enseignements sont à retrouver ici.

 

L’initiative « One Clause »

Les startups de la legaltech ont contribué à l’initiative « One Clause », portée par plusieurs associations du secteur. Cette initiative vise à définir une clause type de réversibilité des données pour les contrats des clients d’éditeurs logiciels dans le monde juridique. Pour en savoir, nous témoignons sur le sujet dans Les Echos.

Critères pour rejoindre la taskforce

  • être adhérent Start-up ou Scale up de France Digitale et être à jour de sa cotisation annuelle
  • être une Start up ou Scale up dans le domaine du droit en ayant un produit ou service déjà commercialisé sur le marché avec des premiers clients ou des partenariats payants
  • être une société ayant son siège social en France
  • ne pas être une filiale ou une entité détenue majoritairement par une société opérationnelle tierce
  • adhérer aux valeurs du groupe et participer aux initiatives du groupe  
  • s’investir durablement dans le collectif 

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